Sophie Charretour, country manager Merz Aesthetics Italia, nous conduit à travers les plus belles villes d’Italie, à la découverte de la « vraie beauté ». Un voyage passionnant décliné en plusieurs épisodes de 15 minutes, où la tradition artistique italienne rencontre la science de la médecine esthétique. Des rues pavées de Florence aux couchers de soleil de Taormine, les grands thèmes de l’esthétisme nous transportent dans une dimension intemporelle qui inspire les réflexions des médecins spécialistes et révèlent le lien profond entre l’Art et son influence sur la recherche de la beauté authentique.

La tradition artistique italienne et l’avant-garde de la médecine esthétique s’unissent pour révéler la « Vera Bellezza » (la vraie beauté). Merz Aesthetics, qui depuis des années promeut une culture éthique de la médecine esthétique, propose un format innovant : une série d’épisodes tournés du Nord au Sud du Belpaese, à la découverte d’une Italie d’une beauté extraordinaire, vue sous le prisme de l’esthétisme. Enquêtant sur le rapport entre Art et Science, Sophie Charretour, responsable de la filiale italienne de l’entreprise, nous embarque telle une journaliste reporter dans son voyage insolite de Turin à Padoue, de Pise à Milan, de Florence à Taormine, pour raconter cette quête de la beauté, à 360 degrés.

L’objectif : répondre aux questions phares du domaine de la médecine esthétique, à travers un parallèle entre chefs-d’œuvre de l’Art italien et la philosophie esthétique de médecins italiens spécialisés et renommés.

Un voyage entre art, culture, histoire et médecine esthétique

Le premier épisode, diffusé le 15 décembre dernier, est tourné à Pise, sur la Piazza dei Miracoli, où s’érige la fameuse tour penchée. Sophie y rencontre deux spécialistes pour évoquer « la beauté des imperfections ».
 

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A Padoue, berceau de la science de la médecine, la manager converse sur la « Beauté et la raison » avec la spécialiste Maria Cristina D’Aloiso. Une discussion philosophique passionnante qui interroge notamment sur notre relation à la beauté : est-elle innée ou culturelle ?

Une première rencontre à Milan a lieu avec le Docteur Marco Bartolucci, entre tradition et modernité, où l’esthétisme se fond avec une pensée progressiste. Le lieu idéal pour discuter de « L’avant-garde de la Beauté », des continuels changements environnementaux et sociaux qui se reflètent dans l’art et dans le design, mais aussi dans la médecine esthétique.

C’est le thème de la « Beauté de l’élégance » qui est approfondi à Turin, ville d’une beauté qui s’exprime par un équilibre raffiné entre passé et présent, entre tradition et modernité.

 

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Puis direction la Sicile, à Taormine, où les témoignages du passé abondent : la ville conserve les signes indélébiles des dominations du passé, un riche héritage artistique et culturel. A travers un voyage parmi ces vestiges du passé, la discussion entre Sophie Charretour et le docteur Fabrizio Melfa met en évidence qu’en médecine esthétique, la recherche de l’harmonie fait référence à un équilibre naturel où l’attention se pose sur les proportions du patient, sans délaisser certaines règles d’or, afin de ne pas dénaturer les spécificités de la personne.

Enfin, Sophie et son équipe bouclent la première partie de leur périple de retour à Milan, à la rencontre des spécialistes Giorgio et Giulia Astolfi. La capitale lombarde émerge comme la ville du « changement » par excellence. Une métropole dynamique où plusieurs mondes coexistent. Romaine, médiévale, baroque… au même titre que la ville change, l’homme traverse des changements durant chaque phase de sa vie. Et la médecine esthétique, à travers des traitements étudiés selon les exigences liées aux changements de l’âge, rend la possibilité d’être beau à tout âge.
 

Trois questions à Sophie Charretour
 

Comment est né le projet La Vera Bellezza, ce parallèle entre l’Art et la Science ?
L’objectif de cette série était de mettre en avant la beauté qui nous entoure. L’être humain est depuis toujours en quête de beauté : elle a toujours inspiré que ce soit à travers l’art, l’architecture ou la culture en général. Tout est beauté, et particulièrement en Italie du fait de sa riche histoire.
Parler de cette beauté avec des médecins spécialisés en esthétique, permet de mettre en valeur l’homme qui est derrière ce « technicien de la beauté ». Il est intéressant de découvrir comment il a été inspiré par la beauté de la ville dans laquelle il a grandi. C’est même essentiel, car lorsqu’on parle de beauté, on ne va pas voir qu’un médecin mais aussi un homme en qui on a besoin d’avoir confiance.

La beauté se décline en plusieurs sujets, comme le reflète chaque épisode. Comment les thématiques ont-elles été définies ?
La beauté cachée à Gênes, le pouvoir de la beauté à Rome, la renaissance de la beauté à Florence, beauté et raison à Padoue… Les déclinaisons reflètent les caractéristiques et l’histoire de chaque ville.
Il y a en amont un important travail de préparation et de documentation, car je prépare moi-même mes questions, pour des épisodes d’environ 15 minutes. Cela m’a permis de m’immerger davantage dans la culture italienne, de comprendre les nombreuses histoires et les influences très différentes qui composent pourtant un même pays.

Rendre à l’Italie ce qu’elle me donne

Une française qui fait découvrir l’Italie et la culture italienne, en italien ! Qu’est-ce que ce projet vous a apporté personnellement ?
Je suis arrivée en Italie il y a 4 ans, sans savoir parler un mot et en plein Covid où les interactions étaient au minimum. Ce n’était donc pas l’idéal ! De la documentation à la langue, ce travail m’a permis de répondre à un véritable challenge personnel.  C’était un défi de rendre à l’Italie ce qu’elle me donne : chercher à m’intégrer non seulement par le biais de l’apprentissage de la langue mais aussi de la culture et de l’échange. Aujourd’hui, réussir à comprendre les nuances et arriver à avoir un certain sens de l’humour en italien, est une fierté.
C’est d’autant plus satisfaisant de constater l’intérêt suscité par ces vidéos : plus de 45.000 vues pour le premier épisode, plus de 100.000 vues pour le trailer, ainsi que de nombreuses interactions. Et pour rendre les épisodes accessibles à un plus large public, disponibles sous-titrés en anglais à partir du 15 février.

La liste des épisodes est à retrouver sur le site de Merz Aesthetics Italie, sur la chaine YouTube, Facebook et Instagram (Merz Aesthetics) et le compte Instagram de Sophie Charretour.